L’année 2012, un peu comme les années précédentes, a été très tumultueuse pour la presse privée togolaise en matière de libre exercice de la profession.
A plusieurs reprises, les journalistes et autres professionnels de médias ont été victimes de multiples agressions de la part des forces de sécurité. Les auteurs de la panoplie d’agressions ont été dans certains cas formellement identifiés mais sont restés jusqu’à ce jour impunis.
Ceci un paragraphe de l’introduction du Mémorandum de la Synchronie des journalistes sur les agressions des journalistes au Togo. Ce mémoradum a été publié le 30 avril dernier.
Frédo ATTIPOU, Noel Kokou TADEGNON, Justin ANANI, Sylvio Combey COMBETEY, Younglove Egbeboua AMAVI, Yollande LOVI COLE, Lawson Bonéro, Augustin AMEGA, Jérôme Sossou pour ne citer que ceux là, sont des journalistes ou encore des reporters photographes togolais qui subissent quotidiennement des intimidations, des agressions brutales policières, des harcèlements voire même des tentatives d’assassinats.
Pour comprendre le calvaire du journaliste togolais dans l’accomplissement de son travail deux confrères étaient les invités de FSA.
- Younglove Egbeboua Amavi, Secrétaire du syndicat des agents de l’information, techniciens et journalistes des organes publics SAINJOP
- Idelphonse Akpaki, Directeur du journal la « Gazette » et correspondant du journal en ligne www.mo5-togo.org à Lomé.
C’était au micro de Sylvain Amos en collaboration avec Romain Koudjodji, Lucien Hunkanli et Fabbi Kouassi.
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C’était au micro de Sylvain Amos en Collaboration avec Romain Koudjodji, Fabbi Kouassi et Lucien Hunkanli.
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